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V.D. (Théâtre & vidéo)

Petite forme dérivée du spectacle "Visages Dansants / Vagins Dissidents"

Daprès l'oeuvre de Virginies DESPENTES

Mise en scène & création vidéo : Grégory CINUS

Interprètes : Gaëlle VANHOUTTE, Sophie LEGRAND

Durée : 40mn

5 séquences pour dire la confiscation du corps des femmes.

4 façons de le dire : sombre, comique, mélancolique, violente.

3 livres de Virginie Despentes comme matériau de travail.

2 femmes sur scène.

1 seule conclusion : « il ne s’agit pas d’opposer les petits avantages des femmes aux acquis des hommes, mais bien de tout foutre en l’air » (« King Kong Théorie »)

O concession.

Court et percutant, « V.D. » passe du noir au rose, pour finir dans un arc-en-ciel fracassé et fracassant (dans tous les sens du terme…).

 

ATTENTION : ce spectacle contient des textes et des images explicites – déconseillé aux moins de 14 ans

 

"V.D." est donc une petite forme tous terrains (médiathèques, bars, appartements, etc.) dérivée d'une grande forme plus complexe, "Visages dansants / Vagins Dissidents" dont vous trouverez ci-dessous quelques éléments de présentation.

 

Coincées dans un intérieur abstrait, elles font le ménage, se roulent des spliffs, font la vaisselle et des cocktails chargés en vodka. Coincées dans leurs intérieurs, elles se débattent avec leurs contradictions.

Deux femmes, plusieurs façons d’aborder la féminité. Dans l’acceptation des normes imposées et dans la rébellion. Dans la mélancolie et dans l’affirmation d’une présence forte. Dans l’humour et dans la rage.

Mêlant intimement théâtre et vidéo, passant radicalement de la brutalité des textes-fleuves à la poésie des images silencieuses, «VISAGES DANSANTS / VAGINS DISSIDENTS » est un spectacle sans concession sur l’exploitation des corps et sur le fantasme d’une humanité débarrassée du carcan des genres.

 

«Les corps des femmes n’appartiennent aux hommes qu’en contrepartie de ce que les corps des hommes appartiennent à la production en temps de paix, à l’Etat en temps de guerre» (Virginie DESPENTES, «King Kong Théorie»)

 

« il ne s’agit pas d’opposer les petits avantages des femmes aux acquis des hommes, mais bien de tout foutre en l’air » (Virginie DESPENTES, «King Kong Théorie»)

 

«La femme n'existe pas. Le genre n'existe pas. C'est la métamorphose qui fait l'humain, notre ludique monstruosité, la fluidité du jeu et les vérités multiples de l'enfance.» (Isabelle SORRENTE, «Je suis une créature»)

 

Pour télécharger le dossier du spectacle "Visages Dansants / Vagins Dissidents, cliquez ICI

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